Autonomía digital y tecnológica

Código e ideas para una internet distribuida

Linkoteca. tiers lieux


L’équipe des Imaginations Fertiles vous partage sa boîte à outils !
Retrouvez ici des documents vierges & disponibles pour vous aider dans le développement de votre projet.

Vous montez un tiers-lieu ? Vous questionnez vos usagers ? Vous animez des temps d’intelligence collective ? Vous souhaitez découvrir le design de service ?

L’équipe des Imaginations Fertiles peut vous accompagner dans vos projets, n’hésitez pas à nous faire part de vos besoins !

Outils et ressources pour les tiers-lieux qui développent une offre de formation professionnelle

PiNG est une structure aux mutliples facettes. À la fois association d’éducation populaire ressource sur les cultures numériques à l’échelle régionale et nationale; animatrice de deux tiers-lieux à Nantes (l’atelier partagé du Breil et le fablab Plateforme C), et organisme de formation, depuis plusieurs années.
C’est au croisement de ces facettes que cet article ressource va se concentrer, dans la perspective de fournir aux tiers-lieux en Pays de la Loire et à l’échelle nationale, un retour d’expérience orienté «opérationnel» sur des outils et des astuces permettant de développer une offre de formation ayant vocation à s’inscrire en conformité des exigences du référentiel national qualité en matière de formation professionnelle. En bref, si le mot «qualiopi» vous est familier, vous êtes au bon endroit pour glaner quelques ressources contexualisées avec une activité de tiers-lieu!

Each of the events were 4-nights. One was more “professional”, with people paying €1500-2500 for a ticket. The others were more lowkey, with tickets between €200-500. All of our events are priced on a sliding scale so people with more income contribute more, making it more accessible to people with low income. Co-living guests paid €200-350/week (all inclusive)..

Nati & I were left with a €5k profit for the co-living period, and about a €10k profit for the 4 events we facilitated. €15k for 3 months is not an amazing salary for two people, but considering all our living expenses were covered, and the work is satisfying, it’s quite doable.

Next to the dinner table was the “community mastery board” – a facilitation tool we learned from our friend Drew from Agile Learning Centers. This is an easy way for people to name small problems and quickly come up with solutions together, like “the downstairs bedrooms have poor sound insulation” → “let’s keep the noise level down in that part of the house between 10pm and 8am”

If you’re an aspiring community-builder: I would definitely recommend you run an experiment something like this. But I should note there are other factors that enabled us to be successful.

For one: reputation. We’re well connected in multiple networks: TPOT, The Hum, Microsolidarity, and Enspiral. From my position in that web, it’s pretty easy to get an invitation in front of a few thousand people, so that takes most of the effort out of event promotion. 96% occupancy across 4 events is exceptionally high, and it’s the result of a decade of network-building internationally.

Another factor: skills for living in community.

Selon moi, les tiers-lieux sont le visage de la France de l’après-Covid. A côté des grandes ETI, il y a cette économie territoriale qui renaît dans l’hyperproximité. Cela émergeait déjà auparavant : la transition numérique, écologique, la profonde remise en question de notre rapport au travail n’ont pas attendu la pandémie pour émerger comme une priorité, mais ces lieux apparaissent désormais de plus en plus comme le précipité de ces transitions…

Selon nos estimations, le territoire français comptera a minima environ 3500 tiers lieux en 2022, contre 1800 en 2018. Et je pense que l’exode des urbains qu’on observe déjà va renforcer cette dynamique. Ce qui est évident, c’est que les nouvelles générations bouleversent déjà le rapport au travail, elles réclament un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie perso…

Espaces de coworking pour allergiques au travail en solitaire, fabriques numériques, friches culturelles, mais aussi ateliers, cuisines ou jardins partagés… Encore méconnus du grand public, les «tiers lieux» ne pèsent pas bien lourd sur le papier : en 2021, on en comptait 2 500 en France et 150 000 personnes y travaillaient comme indépendants ou salariés de microentreprises pour un chiffre d’affaires cumulé d’environ 250 millions d’euros. Mais dans les métropoles comme dans des communes plus modestes, sur le terrain associatif et entrepreneurial, ces laboratoires de l’innovation laborieuse, technologique et sociale s’épanouissent «comme 100 fleurs», à en croire Patrick Levy-Waitz qui en paraphraserait presque Mao. Le président de l’association France tiers lieux et de la Fondation travailler autrement doit remettre ce vendredi à Jean Castex un rapport intitulé «Tiers lieux, nos territoires en action».