Google buys Fitbit for $2.1 billion
…the company will still take privacy for health and fitness data seriously, noting that “Fitbit health and wellness data will not be used for Google ads.”
…the company will still take privacy for health and fitness data seriously, noting that “Fitbit health and wellness data will not be used for Google ads.”
Yet in the twenty-first century, power will be determined not by one’s nuclear arsenal, but by a wider spectrum of technological capabilities based on digitization. Those who aren’t at the forefront of artificial intelligence (AI) and Big Data will inexorably become dependent on, and ultimately controlled by, other powers. Data and technological sovereignty, not nuclear warheads, will determine the global distribution of power and wealth in this century. And in open societies, the same factors will also decide the future of democracy.
The most important issue facing the new European Commission, then, is Europe’s lack of digital sovereignty. Europe’s command of AI, Big Data, and related technologies will determine its overall competitiveness in the twenty-first century. But Europeans must decide who will own the data needed to achieve digital sovereignty, and what conditions should govern its collection and use.
Since the beginning of 2017, Android phones have been collecting the addresses of nearby cellular towers—even when location services are disabled—and sending that data back to Google. The result is that Google, the unit of Alphabet behind Android, has access to data about individuals’ locations and their movements that go far beyond a reasonable consumer expectation of privacy.
The section of Google’s privacy policy that covers location sharing says the company will collect location information from devices that use its services, but does not indicate whether it will collect data from Android devices when location services are disabled
« Si c’est gratuit, c’est vous le produit ! » En lançant le premier forfait de téléphonie mobile entièrement financé par la publicité, l’opérateur français Prixtel adapte un modèle économique bien installé et sans cesse en progression dans le paysage du Web : un modèle qui, au premier abord, semble gratuit.
« Si vous êtes le produit, alors ce n’est pas gratuit car l’utilisation du service n’est pas sans contrepartie : vous acceptez l’utilisation de vos données personnelles, vous acceptez des contrats d’utilisation léonins qui font de vous une main-d’oeuvre sans droit ni titre, vous acceptez d’être pisté, tracé, traqué pour que le client final, généralement une régie publicitaire, sache tout de vous pour mieux vous cibler…
Le réseau social est à nouveau montré du doigt après la découverte de l’utilisation de données personnelles de plusieurs millions d’utilisateurs, par une entreprise d’analyse liée à la campagne présidentielle de Donald Trump.
L’affaire Cambridge Analytica tourne autour d’une application, nommée «thisisyourdigitallife» (littéralement «cestvotrevienumérique») et accessible via le réseau social, jusqu’à sa suppression en 2015.
Derrière cette façade, présentée comme «une application de recherche utilisée par les psychologues», un système bien plus complexe. Non seulement les 270 000 personnes ayant utilisé l’application ont fourni des informations volontairement sur eux-mêmes, mais ils en ont aussi fourni d’autres de manière bien moins consciente (l’application avait accès aux contenus qu’ils avaient «aimé» sur le réseau social ou à leur ville actuelle).
Pire, ils ont aussi permis à l’application d’accéder aux données des contacts de ces personnes sur Facebook. Un effet boule de neige qui rend difficile d’évaluer l’ampleur de cette collecte : entre 30 millions (pour le New York Times) et 50 millions (selon le Guardian) de personnes. Des données récupérées par une première société (SCL) puis une seconde (Cambridge Analytica).
Debemos ser capaces de soñar y pensar en términos que no estén definidos por Silicon Valley. Para mí, en este punto, las empresas de tecnología son como las cadenas de comida rápida, las casas de apuestas o los casinos: crean y manufacturan una adicción que luego tiene unas consecuencias. En el caso de las tecnológicas, la distracción.
yo construiría una alternativa a Facebook con dinero público en vez de aceptar que la única manera de organizar las comunicaciones es a través de esta firma.
Estamos en una era en que los datos son algo en torno a lo que emergen nuevos modelos de negocio y nuevas formas de explotación.
Google quiere ser el nuevo Estado del bienestar y el nuevo partido político.