Samuel broie du noir. Et il y a de quoi ! Il est célibataire, vit dans un petit appartement sous un toit de Paris et se morfond dans un travail qui ne le passionne pas… Seul chez lui le soir de son anniversaire, Samuel s’amuse à appeler le seul numéro qu’il connait par coeur, celui de sa maison d’enfance. À sa grande surprise, quelqu’un décroche : lui-même. Le petit Samuel, 10 ans, qui rêve d’être footballeur, de voyager et d’écrire des romans pour impressionner les filles… Comment garder la tête haute quand on doit avouer à l’enfant qu’on était qu’on n’a réalisé aucun de ses rêves ?
Il est temps pour Samuel de reprendre sa vie en main…
Javier Marquina, guionista fertil y parra fecunda del tebeo independiente. Jaime Infante, sombras y luces para dibujar, masas de negro y composiciones cuidadísimas. Toman como base el “Mear Sangre” de Dum Dum Pacheco –autobiografía que el boxeador comenzó a escribir en la cárcel a los 19 años cuando llevaba ya tres preso en Carabanchel– y algunos otros documentos y testimonios del boxeador, para construir este DUM DUM. Si el relato original de Pacheco ya es de una violencia bestial descarnada, ponerle imágenes a todo esto lo aterriza como la barbaridad escalofriante que es. Pacheco es criado a hostias, curtido por ese mismo sistema pedagógico, delincuencia y talego. Hostias abundantes para poder salir más o menos indemne de su paso por la cárcel. Y el carácter siempre presente, que no ayuda. La legión, el boxeo y la vida cotidiana, donde, totalmente interiorizada, tampoco puede faltar la violencia.
Infante y Marquina, emulando en cierta medida el estilo caótico de Mear Sangre –donde los recuerdos acuden como borbotones a la cabeza de Pacheco– arman una historia en la que la voluntad, el destino y el carácter son los guionistas en la sombra de la vida de Dum Dum, pionero de la delincuencia juvenil, uno de los presos más jóvenes que ostentó el récord de periodo en celda de castigo (un año aislado) y campeón de España de los pesos wélter en seis ocasiones.
Un piloto de acrobacias deseado por todas las mujeres, un pervertido incombustible, un aviador francés en plena I Guerra Mundial y un pobre diablo abatido y naufragado en una isla «aparentemente» desierta…A partir de aquí, este cómic dará un vuelco a todo lo creíais que era…
Gregor Mazur et son entourage débarquent à Saint-Elme pour l’enterrement de Roland Sax. Quatrième tome spectral de la saga de Lehman et Peeters.
La mort de Roland Sax crée des remous : Gregor Mazur et son entourage débarquent à Saint-Elme pour assister à l’enterrement. À la Vache Brûlée, Franck se remet de ses blessures et tente de convaincre Philippe de rester en ville malgré le danger. Stan et Yérim font un tour en boîte de nuit. Yves Mertens cherche une maison à louer. Et Piotr est touché par la grâce.
Jean-Marc Rochette explique : « On m’a reproché de faire des histoires virilistes, sans femme ou presque. C’est faux : dans Ailefroide, ma mère, une femme forte, et ma grand-mère sont présentes. Là, j’ai mis au cœur de La dernière reine une femme comme moteur. Dans ce récit, il s’agit d’ailleurs d’un homme sauvé par une femme. Edmond Roux n’existe pas sans elle. Dans les scènes d’amour, c’est une vision inverse des codes habituels de la sexualité qui est présentée. C’est Jeanne qui ausculte Edmond, qui lui demande de se déshabiller, qui lui dit qu’elle le trouve beau et qu’il a un corps magnifique. Elle commence d’ailleurs par soulever le voile qu’il porte pour dissimuler son visage abîmé. C’est d’une sensualité folle. Mais je ne l’ai vue qu’après avoir dessiné. »
Gueule cassée de 14, Édouard Roux trouve refuge dans l’atelier de la sculptrice animalière Jeanne Sauvage. Elle lui redonne un visage et l’introduit dans le milieu des artistes de Montmartre. En échange, Édouard lui fait découvrir la majesté du plateau du Vercors et l’histoire du dernier ours qu’il a vu tué quand il était enfant. Au cœur du Cirque d’Archiane, il lui dévoile la Dernière Reine et incite Jeanne a créer le chef d’œuvre qui la fera reconnaître.
Dans la veine des grands romans feuilletons du 19e, La Dernière Reine croise les destins du dernier ours du Vercors et d’Édouard Roux gueule cassée de 14.
Comme précédemment dans Le Loup, homme et animal se confrontent dans un récit puissant, mêlant questionnements écologiques, féminisme, histoire d’amour et histoire de l’art.
Philippe Sangaré débarque à Saint-Elme et se lance sur la piste de son frère disparu. Romane révèle à Paco ce que voit réellement son père dans sa chambre. Le directeur Jansky tente une manoeuvre désespérée pour convaincre Roland Sax de signer le projet de Stan et Tania. Et sous terre, Franck se laisse guider par les grenouilles.
Franck Sangaré est aux mains des Sax, la famille qui a pris le contrôle de Saint-Elme, et son frère Philippe tarde à répondre aux appels angoissés de madame Dombre. Pendant ce temps, à l’auberge de la Vache Brûlée, Romane Mertens apprend à tirer au pistolet avec Paco tandis que son père passe ses journées à parler seul dans sa chambre… Tout seul, vraiment ?
Le détective Franck Sangaré, accompagné de son assistante, l’étrange madame Dombre, débarquent à Saint-Elme, une petite ville de montagne réputée pour son eau de source. Ils sont sur les traces d’un fugueur disparu depuis trois mois : enquête apparemment facile. Sauf qu’à Saint-Elme, tout le monde vous le dira : « Ici, c’est spécial. »
Drôle de cambrioleur… Vêtu de plumes, coiffé d’un chapeau, un homme entre par effraction dans un appartement. Cela ressemble à un cambriolage. Il se retrouve nez-à-nez avec Clara, la petite fille de la maitresse de maison. Il l’assure, il ne veut rien voler : juste récupérer une enveloppe que Maud, la propriétaire des lieux, actuellement à l’hôpital, lui a promis. Il semble que la dette soit ancienne. Betty, la mère de Clara, est, elle, victime de crise d’aphasie qu’elle guérit en allant voir un magicien…