Autonomía digital y tecnológica

Código e ideas para una internet distribuida

Linkoteca. Francia


L’exonération est accordée dans la limite de 31 865 € tous les quinze ans.

Ces dons peuvent être effectués par chèque, par virement, par mandat ou par remise d’espèces.

Chaque enfant peut ainsi recevoir, en exonération de droits, jusqu’à 31 865 € de chacun de ses parents, grands-parents et arrière-grands-parents.

Exemple : un enfant peut recevoir en exonération de droits 63 730 € (31 865 x 2) de ses parents et 127 460 € (31 865 x 4) de ses quatre grands-parents tous les 15 ans.

L’exonération est limitée à 31 865 € versés en une ou plusieurs fois sur une période de 15 ans par un même donateur à un même bénéficiaire.

À noter : cette exonération peut se cumuler avec les abattements personnels accordés en fonction du lien de parenté.

La déclaration du don familial de sommes d’argent est formalisée dans le mois qui suit la date du don par déclaration en ligne via votre espace personnel sécurisé, rubrique Déclarer > Vous avez reçu un don ? Déclarez-le. Vous pouvez également déposer un formulaire n° 2735, en double exemplaire au service chargé de l’enregistrement du domicile du donataire.

Attention : cette condition est d’application stricte, si vous dépassez ce délai, vous perdez le bénéfice de cette exonération.

Exemple :

Un père de 65 ans donne pour la première fois à son enfant majeur une somme d’argent de 80 000 €.

La somme est exonérée à hauteur de 31 865 € au titre des dons familiaux de sommes d’argent.

Le surplus de 48 135 € bénéficie de l’abattement personnel qui est de 100 000 € pour un enfant.

Ainsi, aucun droit n’est à acquitter sur la totalité du don de 80 000 €.

Si la déclaration est effectuée en ligne, la saisie est simplifiée. L’application des exonérations et abattements, ainsi que le calcul des droits sont automatiques.

En cas de déclaration par le biais du formulaire 2735, il faudra déclarer la totalité de la somme donnée, au cadre V :

  • 1ère ligne : le montant du don familial de sommes d’argent exonéré pour  31 865 € ;
  • 2ème ligne : le surplus, soit 48 135 €.

Selon moi, les tiers-lieux sont le visage de la France de l’après-Covid. A côté des grandes ETI, il y a cette économie territoriale qui renaît dans l’hyperproximité. Cela émergeait déjà auparavant : la transition numérique, écologique, la profonde remise en question de notre rapport au travail n’ont pas attendu la pandémie pour émerger comme une priorité, mais ces lieux apparaissent désormais de plus en plus comme le précipité de ces transitions…

Selon nos estimations, le territoire français comptera a minima environ 3500 tiers lieux en 2022, contre 1800 en 2018. Et je pense que l’exode des urbains qu’on observe déjà va renforcer cette dynamique. Ce qui est évident, c’est que les nouvelles générations bouleversent déjà le rapport au travail, elles réclament un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie perso…

Espaces de coworking pour allergiques au travail en solitaire, fabriques numériques, friches culturelles, mais aussi ateliers, cuisines ou jardins partagés… Encore méconnus du grand public, les «tiers lieux» ne pèsent pas bien lourd sur le papier : en 2021, on en comptait 2 500 en France et 150 000 personnes y travaillaient comme indépendants ou salariés de microentreprises pour un chiffre d’affaires cumulé d’environ 250 millions d’euros. Mais dans les métropoles comme dans des communes plus modestes, sur le terrain associatif et entrepreneurial, ces laboratoires de l’innovation laborieuse, technologique et sociale s’épanouissent «comme 100 fleurs», à en croire Patrick Levy-Waitz qui en paraphraserait presque Mao. Le président de l’association France tiers lieux et de la Fondation travailler autrement doit remettre ce vendredi à Jean Castex un rapport intitulé «Tiers lieux, nos territoires en action».

Le passe sanitaire est la traduction d’évolutions techniques qui pourraient supprimer ces anciennes limites et permettre à cette forme de répression de s’appliquer à l’ensemble de la population, pour une très large diversité de lieux et d’activités.

Elle permet notamment de confier à des dizaines de milliers de personnes non-formées et non-payées par l’État (mais simplement munies d’un smartphone) la mission de contrôler l’ensemble de la population à l’entrée d’innombrables lieux publics, et ce, à un coût extrêmement faible pour l’État puisque l’essentiel de l’infrastructure (les téléphones) a déjà été financée de manière privée par les personnes chargées du contrôle.

Désormais, et soudainement, l’État a les moyens matériels pour réguler l’espace public dans des proportions presque totales.

Ce parallèle nous permet d’apporter une précision importante : qu’il s’agisse du passe sanitaire ou de la détection automatique des comportements « anormaux », ces systèmes ne nécessitent pas forcément un contrôle d’identité. Le logiciel d’imagerie qui signale votre comportement « anormal » se moque bien de connaître votre nom. De même, en théorie, le passe sanitaire aussi pourrait fonctionner sans contenir votre nom – c’est d’ailleurs ce que prévoyait la loi initiale sur la sortie de crise ou, plus inquiétant, ce que proposent désormais certaines entreprises en se fondant non plus sur le nom mais le visage. Dans ces situations, tout ce qui compte pour l’État est de diriger nos corps dans l’espace afin de renvoyer aux marges celles et ceux qui – peu importe leurs noms – ne se conforment pas à ses exigences.

Même dans son format le plus sophistiqué, l’efficacité du passe sur le plan sanitaire resterait toujours à démontrer – il demeure de nombreuses incertitudes, que ce soit sur la valeur des tests au bout de 72 heures, sur le taux de transmission même une fois vacciné, sur le cas des nouveaux variants, sur l’efficacité de la contrainte pour inciter la population à se faire vacciner, ou sur la durée de validité à retenir pour les tests de dépistage.

Depuis 1989, le Stoc évalue les tendances des communautés d’oiseaux spécialistes des milieux agricoles, des milieux bâtis et des milieux forestiers, ainsi que celles des généralistes. La chute la plus importante concerne les oiseaux spécialistes des milieux agricoles (telles que les alouettes des champs ou les perdrix grises), qui ont perdu 29,5% de leurs effectifs en trente ans.

Cette diminution drastique des populations d’oiseaux des champs «est concomitante de l’intensification des pratiques agricoles ces dernières décennies, plus particulièrement depuis 2008-2009, alerte le rapport. Une période qui correspond entre autres à la généralisation des néonicotinoïdes, insecticides neurotoxiques très persistants». Autre facteur majeur du déclin des oiseaux spécialistes des milieux agricoles, «la disparition des habitats qui leur sont favorables par l’uniformisation des paysages (grandes parcelles en monoculture, disparition des haies) dans les zones d’agriculture intensive».

Captura de pantalla de app.dvf.etalab.gouv.fr

Cette application est proposée par Etalab, département de la DINUM, et permet de visualiser les données DVF (demandes de valeurs foncières), correspondant aux mutations à titre onéreux réalisées les 5 dernières années. Les données DVF brutes sont téléchargeables sur le site https://www.data.gouv.fr depuis le 24 avril 2019 et sont produites par la direction générale des Finances publiques. Vous y trouverez des informations sur le cadre technique et légal de cette publication.

A quoi correspond le prix affiché ?

Il s’agit dun prix «net vendeur», c’est-à-dire ne comprenant ni frais d’agence immobilière, ni frais de notaire. En cas de vente de mobilier (une cuisine équipée par exemple) avec le bien immobilier, le montant de ce mobilier n’est pas compris dans le prix affiché. La TVA est incluse.

Captura de pantalla de france-geojson.gregoiredavid.fr

Le projet Github france-geojson propose au format GeoJSON les cartes des régions, départements, arrondissements, cantons et communes de France (métropole et départements d’outre-mer) à partir des données publiées par l’IGN et l’INSEE.

Ce site permet de rechercher, visualiser et télécharger individuellement chacun de ces fichiers dans un format optimisé. Pour plus de détails ou pour accèder à la version non optimisée des tracés, cliquez sur le bouton ci-dessous.

Hace casi una década, cuando un distrito parisino se planteó la prohibición de las estufas de gas —medida finalmente revertida por la justicia—, la consultoría especializada en transición ecológica Carbone 4 calculó que una terraza equipada con cuatro braseros que funcionaran ocho horas al día emitía tanto CO2 como un trayecto en coche de 350 kilómetros. Finalmente, en París se llegó a un acuerdo para aumentar las tasas para el uso de terrazas.

L’information officielle sur la progression de l’épidémie en France est assez fragmentée, et n’est presque jamais structurée sous forme de données.

L’objectif de ce jeu de données est de consolider l’information officielle, et de la rendre disponible dans des formats ouverts et aisément réutilisables (JSON, CSV…).
Granularité

Les données sont proposées selon plusieurs granularités : monde, pays (France), région et département.
Les données à la maille du département sont actuellement très fragmentaires.
Sources utilisées

Santé publique France
Préfectures
Agences Régionales de Santé
Ministère des Solidarités et de la Santé

Code source et issues

Lien vers le projet de collecte de données. Signalez les problèmes et erreurs de données en créant des issues à l’adresse suivante :

https://github.com/opencovid19-fr/data

France is to become the first major economy to impose a tax on internet heavyweights. Dubbed the Gafa tax – an acronym for Google, Apple, Facebook and Amazon – the legislation will impose a 3% levy on the total annual revenues of the largest technology firms providing services to French consumers.

…tech giants, as monopolies, now presented a democratic challenge to governments. “Certain tech platforms have become the building blocks of our economy and democracy,” he said. “They have acquired a monopoly position today which gives them a footprint no other company has on the economy, so they need to see specific regulations applied … A company which has 1.4 billion citizens on its social networks can’t be treated like just any other company, with the same rules. A company that is the only search engine or messaging platform can’t have just the same rules as any other private company.”

Un enseignement en ligne gratuit sur le municipalisme.

« La commune est à nous ! », accessible en ligne, répond à vos questions en 8 étapes pour comprendre la radicalité démocratique et construire une nouvelle éthique politique. Quelles sont les clés pour ouvrir collectivement les portes d’une municipalité ? Quelles expériences existent déjà, quels sont leurs succès, leurs difficultés ? Quelles méthodes utiliser pour inclure les habitants ? Comment animer une assemblée citoyenne et parvenir à une décision portée par tous ?

Suite à la liste des sites web en .gouv.fr générée sur le dépôt GitHub gouvfrlist, voici une représentation des domaines et sous-domaines par ministère et administrations (déconcentrées). Nous nous sommes également appuyé sur la liste du top 250 des démarches administratives, la liste des sites en .gouv.fr datant de 2014 et surtout la liste des noms de domaine .fr de l’AFNIC en open data .

Data

Les données ont été retraitées et sont accessible dans ce fichier d’import KUMU et sont publiées sur un jeu de données sur data.gouv.fr

Les noms de domaines considérés comme (possiblement) inutile/inutilisé sont listés dans le fichier contenant les noms de domaines en gouv.fr de l’AFNIC de Juillet 2019.

Ces fichiers contiennent l’ensemble des communes françaises, y compris les DOM, Mayotte et Saint-Pierre-et-Miquelon. Pour Paris, Lyon, Marseille, ce sont les limites d’arrondissements qui sont fournies à la place des limites de communes.

Pour chaque commune ou arrondissement, les attributs suivants sont ajoutés:

insee: code INSEE à 5 caractères de la commune
nom: nom de la commune (tel que figurant dans OpenStreetMap, si possible conforme aux règles de toponymie)
wikipedia: entrée wikipédia (code langue suivi du nom de l’article)
surf_ha : surface en hectares de la commune